Publications


    Rabelais et l’hybridité des récits rabelaisiens
    Études rabelaisiennes. Tome LVI

    Édité par Diane DESROSIERS, Claude LA CHARITÉ, Christian VEILLEUX, Tristan VIGLIANO

    coll. « Études rabelaisiennes »
    Paris, Librairie DROZ
    8 mars 2017, 728 p., 33 ill.
    ISBN 978-2-600-04731-9

    Attachée aux idées d’impureté, de dégénérescence et de stérilité dans l’épistémè renaissante, mais valorisée par les régimes esthétiques moderne et postmoderne, l’hybridité est à la fois un propos et une manière de la geste pantagruélique. Ce volume considère trois registres où Rabelais tantôt dissimule les sutures de son bouturage poétique, tantôt en exhibe les tensions productives. Dans l’ordre générique, les fables, listes, joutes oratoires, prières et autres formes littéraires tissent des liens atypiques, mais vivaces. Fécondes aussi sont les rencontres de nature intertextuelle, qui puisent aux sources les plus diverses (savantes et populaires, antiques et contemporaines, françaises, européennes et orientales) et s’observent jusque dans les contrefaçons rabelaisiennes du XIXe siècle. L’hybridité langagière, enfin, procède du mélange babélesque des langues et du croisement d’autres systèmes de signes, ceux-là harmonieux ou inaudibles, comme la musique et le gestuel, voire le silence même.


    Raison et sentiments

    Jane AUSTEN

    Édition et traduction de Sophie CHIARI
    coll. « Classiques »
    Paris, Le Livre de Poche
    16 octobre 2019, 576 p.
    EAN 9782253183488

    À la mort d’Henry Dashwood, sa femme et ses trois filles, injustement privées de leur héritage, sont contraintes de quitter leur Sussex natal pour s’installer dans le Devon, à Barton Cottage. Dans la petite société locale, les demoiselles Dashwood ont tôt fait de s’intégrer. Elinor, l’aînée, cache derrière une réserve et une tempérance à toute épreuve un amour profond et sincère pour Edward Ferrars, le frère de sa belle-sœur. Marianne, nature passionnée et romanesque, tombe éperdument amoureuse du beau et impétueux John Willoughby, rencontré sous une pluie battante. Et quand des épreuves viendront chambouler leurs existences, les deux sœurs, aussi différentes qu’inséparables, découvriront qu’elles ont chacune beaucoup à apprendre de l’autre…

    Dans ce grand classique de la littérature anglaise, c’est tout le talent de conteuse de Jane Austen qui se déploie, dans une langue tour à tour drôle et incisive.


    Recherches & travaux n°103, 2023
    « Littératures de genre et stratégies littéraires »

    Raphaël LUIS et Hélène MARTINELLI (dir.)

    Éditée par UGA Éditions (Grenoble)
    Revue en accès libre sur OpenEdition Journals
    décembre 2023, 168 p.
    ISBN 978-2-37747-449-3
    e-ISSN 2605-8383
    DOI 10.4000/recherchestravaux.6665
    membre IHRIM : Hélène MARTINELLI

    Malgré ses nombreuses déclinaisons depuis plus de vingt ans, le concept de stratégie littéraire reste intimement lié à la sociologie bourdieusienne. Accepter l’idée que le champ littéraire soit effectivement un univers concurrentiel, constitué de luttes symboliques et d’agents poursuivant un intérêt, entraîne mécaniquement l’utilisation d’un terme comme celui de stratégie, dont l’origine militaire s’avère idéale pour décrire les modalités complexes par lesquelles des auteurs se positionnent dans le champ. Il est possible de débattre du concept en y donnant plus d’importance aux contraintes pesant sur l’agent ou, au contraire, à sa marge de manœuvre individuelle, ainsi qu’en le redéfinissant à l’échelle discursive (ethos) ou comportementale (posture), entre autres approches. Le fait est que persiste toujours, à l’horizon de ces débats, l’impensé bourdieusien du jugement esthétique : la stratégie est la plupart du temps commentée comme étant, par principe, orientée vers l’autonomie littéraire et le modèle flaubertien de l’originalité créatrice.
    Or cette organisation du champ littéraire autour d’un capital symbolique défini à partir de tels modèles semble peiner à rendre compte d’autres pratiques littéraires. Les littératures sérielles, notamment, se trouvent dans ce modèle théorique réduites à leur dimension économique : l’originalité esthétique n’étant pas forcément leur ambition première, elles sont, de fait, vues comme ne prenant pas part à la recherche d’accumulation de capital symbolique, et donc cantonnées à une maximisation des intérêts commerciaux — les auteurs étant, dans ce cas, souvent suspectés de ne construire leur travail qu’à partir des commandes ou des contraintes liées aux collections.


    Recherches & travaux n°99, 2021
    « Penser le retour de l’éloquence et de son enseignement »

    Marion MAS, Catherine AILLOUD-NICOLAS, Anne VIBERT (dir.)

    Éditée par UGA Éditions (Grenoble)
    décembre 2021, 224 p.
    Revue en accès libre sur OpenEdition Journals
    ISBN 978-2-37747-326-7
    e-ISSN 2605-8383
    DOI 10.4000/recherchestravaux.3825
    Membres IHRIM : Marion MAS et Catherine AILLOUD-NICOLAS

    Ce numéro interroge les enjeux du de l’éloquence dans l’enseignement et dans la littérature, et explore les modèles possibles pour l’apprentissage de la parole publique.

    Présentation

    Dans un contexte de revalorisation de l’éloquence comme enjeu éducatif et social fort, dont témoignent la vogue des concours d’éloquence, le succès de films comme À voix haute et l’importance renouvelée accordée à l’oral dans le cursus scolaire, il apparaît que les objectifs assignés à l’éloquence scolaire et universitaire sont ambivalents, et les cadres théoriques pour penser l’enseignement de la parole orale, hétérogènes. Considérant l’éloquence comme un enjeu politique fondamental, en relation étroite avec des pratiques sociales en mutation, ce numéro cherche à contribuer à la réflexion sur les modèles théoriques explicites ou implicites de l’enseignement de l’art de la parole, du collège à l’Université, en revenant sur son histoire, ses liens avec la littérature, et en interrogeant diverses pratiques d’enseignement de l’éloquence et de la rhétorique, en France et en Belgique.

    Marion MAS est maîtresse de conférences en littérature française à l’INSPÉ de Lyon et membre de l’IHRIM (UMR 5317). Spécialiste de Balzac, elle travaille actuellement sur les relations entre droit et littérature et, d’autre part, sur l’enseignement de la littérature.

    Catherine AILLOUD-NICOLAS est maîtresse de conférences à L’INSPE de Lyon, Université Claude Bernard Lyon 1 et membre de l’IHRIM. Spécialiste de Marivaux, elle enseigne également la dramaturgie auprès des comédiens du Conservatoire de Lyon et auprès des créateurs de l’ENSATT, et en propose une transposition didactique pour les enseignants.

    Anne VIBERT est inspectrice générale de l’éducation du sport et de la recherche et membre associée de Litt&arts-UMR 5316, Université Grenoble-Alpes. Antérieurement maîtresse de conférences en littérature du XIXe siècle, elle a publié plusieurs ouvrages et articles sur l’éloquence parlementaire, l’éloquence judiciaire, et la rhétorique au XIXe siècle.


    Reevaluating the Achievement of Aphra Behn (1640-1689)
    The Collected French and English Essays in Literary Criticism

    Bernard DHUICQ et Yona DUREAU (éd.)

    New York (Lewiston), The Edwin Mellen Press
    décembre 2017, 608 p.
    ISBN 978-1-4955-0628-4
    Autrice IHRIM : Yona DUREAU (éd.)

    Édition de Yona DUREAU
    Aphra Behn (1640-1689) was the first female writer in English Literature. Professor Bernard Dhuicq (1933-2013) was one of Behn’s greatest admirers. He was also the first scholar to promote intensive studies of her writings in France. Professor Dhuicq established Aphra behn Europe, a society who purpose is to advance scholarly research into the life, politics, religion, and literary achievement of Aphra Behn. Professor Dhuicq authored and published over fifty major articles about, and translations of, Aphra Behn’s work. This book gathers and arranges all of the major articles written by Bernard Dhuicq that deal with Aphra Behn.


    Réflexions morales et métaphysiques sur les religions et sur les connaissances des hommes

    Camille FALCONET (attrib. à)

    Édition et notes de Antony MCKENNA et Gianluca MORI
    Manuscrit clandestin attribuable à Camille FALCONET (1671-1762)
    coll. « Libre pensée et littérature clandestine »
    Paris, Honoré Champion
    28 février 2023, 724 p.
    ISBN 978-2-7453-5868-4

    Les Réflexions morales et métaphysiques sont connues d’abord par une lettre signée « Delaube » adressée à Reinier Leers et datée de Lyon du 13 août 1715, qui présente une œuvre philosophique que l’auteur souhaite faire publier. Il existe trois versions manuscrites d’un texte qui correspond à cette présentation. L’enquête porte sur l’identité de l’auteur et permet de remonter au Lyonnais Camille Falconet, éminent « bibliomane » qui s’établit à Paris et fréquente le milieu académique de Jean Terrasson, de Fontenelle et de Malebranche. Cette identification se révèle précieuse dans la généalogie des Réflexions, puisque le père de Camille Falconet, Noël, a été le protégé de Guy Patin : or celui-ci est l’auteur (avec Gabriel Naudé et Pierre Gassendi) du Theophrastus Redivivus (1659), premier traité athée connu composé en France, fondé sur le naturalisme classique (Lucrèce, Cicéron, Plutarque, Sénèque) et moderne (Machiavel, Pomponazzi, Campanella, Vanini). Les Réflexions reprennent de nombreux traits du Theophrastus, mais transforment l’athéisme de souche aristotélicienne de Patin en un spinozisme immatérialiste qui conjugue de manière très originale la métaphysique malebranchiste et le scepticisme de Montaigne. Source inédite et inconnue de Jean-Jacques Rousseau – comme le permettent de penser des témoignages historiques et de nombreux rapprochements textuels – les Réflexions se révèlent ainsi être un texte-clé de l’histoire de la libre pensée aux XVIIe et XVIIIe siècles, témoin de la transition du « libertinage érudit » aux « Lumières radicales ».

    Antony MCKENNA est professeur émérite de l’université Jean Monnet Saint-Etienne, membre de l’équipe de recherche IHRIM (CNRS UMR 5317).
    Gianluca MORI est professeur d’histoire de la philosophie à l’université du Piémont Oriental.


    Réflexions sur le caractère de quelques princes et sur quelques événements de leur vie (vers 1725)

    MONTESQUIEU

    Texte établi, introduit et annoté par Catherine VOLPILHAC-AUGER
    coll. « Montesquieu. Bibliothèque & éditions »
    Lyon, ENS de Lyon
    Pour le compte de l’IHRIM
    Hébergeur : Huma-Num
    En ligne : janvier 2021

    Morale, politique et histoire constituent la matière de brefs portraits constitués en parallèles : Charles XII et Charles le Téméraire, Tibère, Philippe II et Louis XI, Paul III et Sixte V, le duc de Mayenne et Cromwell… Les « politiques » modernes, dissimulateurs et manipulateurs, apparaissent comme de bien pauvres émules du subtil Tibère. Mais la comparaison tourne bientôt court au profit d’analyses plus larges : les guerres de Religion en France deviennent l’objet majeur d’une étude qui, avec le règne d’Henri III, rapproché de Charles Ier d’Angleterre, finit par souligner l’importance des « conjonctures » et des mœurs. Proche du Traité des devoirs, cet opuscule révèle comment Montesquieu passe d’une pratique traditionnelle de l’histoire à une conception plus ambitieuse et plus complexe.

    Édition réalisée avec le soutien de la Richard Lounsbery Foundation, dans le cadre du programme « Du “prince éclairé” au “despotisme éclairé”, de Montesquieu à Catherine II » (2020-2024).

    Voir aussi l’annonce de parution.


    Regards croisés France-Italie.
    Langues, écritures et cultures

    Donatella BISCONTI, Daniela FABIANI (dir.)

    coll. « Regard croisés »
    Macerata (Italie), Eum edizioni universitá di Macerata
    mars 2016, 160 p.
    ISBN 978-88-6056-458-0

    Résumé

    Ce volume, publié par l’Université de Macerata –Italie, avec la contribution financière de l’UMR 5037 (devenu l’IHRIM depuis le 1er janvier 2016) explore les relations culturelles, politiques et sociales tantôt heureuses tantôt conflictuelles entre France et Italie sur un arc de six siècles pour en saisir la contribution globale à la formation de l’identité européenne.

    Note

    Actes de la journée d’études organisée par l’Université de Macerata et l’Université de Clermont-Ferrand (Macerata, 20 mars 2015) / Atti della giornata di studi organizzata dall’Università di Macerata e dall’Università di Clermont-Ferrand (20 marzo 2015).

    L’ouvrage peut être téléchargé gratuitement sous licence Creative Commons sur le site de l’éditeur Eum


    Regards sur le Dictionnaire de musique de Rousseau
    Des Lumières au romantisme

    Emmanuel REIBEL (dir.)

    coll. « MusicologieS »
    Paris, Vrin
    octobre 2016 , 296 p.
    ISBN 978-2-7116-2662-5

    Conçu au cœur des tempêtes esthétiques agitant la musique française du XVIIIe siècle, le Dictionnaire de musique (daté de 1768) constitue un livre fondamental de Jean-Jacques Rousseau, écrivain, philosophe, brillant polémiste et théoricien visionnaire. L’importance de cet ouvrage est due à son envergure encyclopédique, fit tomber dans l’oubli les anciens dictionnaires purement taxinomiques, et à sa dimension engagée qui lui assura une incroyable descendance : intégré au Supplément à l’Encyclopédie puis recomposé, commenté et discuté dans l’Encyclopédie méthodique, il fut cité ou pillé dans la plupart des compilations terminologiques ultérieures, lu et médité par les musiciens comme par les écrivains de l’époque romantique qui le louèrent ou le critiquèrent pour asseoir leurs propres conceptions esthétiques.
    Ce livre collectif réunit seize contributions afin de cerner la richesse de ce Dictionnaire et la fécondité de sa descendance (éditions, traductions, commentaires et usages). Il éclaire la façon dont les écrivains, les compositeurs et les théoriciens – des Lumières au romantisme – se sont construits avec ou contre Rousseau.

    Ancien élève de l’École normale supérieure, Emmanuel Reibel est professeur de musicologie à l’Université Lyon 2
    Préface de Béatrice Didier, professeur honoraire à l’ENS-Paris


    Réinventer le pastoralisme

    Aliènor BERTRAND, Anne BLONDEAU DA SILVA, Dominique TAURISSON-MOURET (dir.)

    coll. « Major », série « L’écologie. Pour un parlement des savoirs »
    Paris, Belin Éducation
    1er novembre 2023
    ISBN 979-10-358-3147-9
    Directrice scientifique IHRIM Aliènor Bertrand

    Avec une préface de Pierre-Henri GOUYON (Museum d’histoire naturelle, Paris)

    L’industrialisation a rompu les liaisons écologiques entre les éleveurs, les bêtes et les paysages. Aux marges de la production agro-industrielle résistent pourtant des collectifs pastoraux économes, au sein desquels les éleveurs et leurs troupeaux sont en interdépendance avec les écosystèmes. Si ces pratiques restent très minoritaires, elles témoignent des aspirations de nouveaux éleveurs, parfois néoruraux, à nouer d’autres relations avec leurs animaux, à façonner les paysages en coévolution avec leurs troupeaux et à tisser de nouveaux liens sociaux. En rendant la parole aux éleveurs, cet ouvrage montre la richesse écologique et humaine du pastoralisme ainsi que les obstacles administratifs auxquels il se heurte. Si la standardisation pilotée par l’agro-industrie a conduit à une déconnexion des troupeaux et des écosystèmes, à la perte du sens du métier et des savoir-faire, des initiatives locales montrent que le pastoralisme peut se réinventer.


    Rencontres facétieuses entre France et Italie
    Pour une généalogie du rire européen

    Dominique BERTRAND

    coll. « Rencontres » n° 501, série « Colloques, congrès et conférences sur la Renaissance européenne »
    Paris, Classiques Garnier
    21 juillet 2021, 267 p.
    ISBN 978-2-406-11000-2
    DOI 10.48611/isbn.978-2-406-11000-2

    Les études de cas rassemblées dans ce volume explorent quelques modalités de la « translatio » problématique des modèles facétieux de l’Italie à la France, qui passe par une dynamique de détournements et d’altérations multiples, et ouvre sur des réappropriations polémiques et identitaires.
    Voir la suite Rencontres facétieuses et esprit de connivence dans la première modernité dans la même collection Rencontres par Dominique BERTRAND.


    Revue Le Verger - Bouquet XVI, septembre 2019
    Les très riches heures de la chorégraphie au XVIe siècle : regards croisés.

    Gautier AMIEL, Adeline LIONETTO, Luisa CAPODIECI et Marie-Joëlle LOUISON-LASSABLIÈRE (dir.)

    Revue en ligne de Cornucopia
    Le Verger-Bouquet XVI - septembre 2019

    Le Verger consacre son numéro d’automne au thème « Les très riches heures de la chorégraphie au XVIe siècle : regards croisés ». Ce numéro constitue les actes d’un colloque, organisé à l’hôtel de Lauzun et en Sorbonne par Gautier Amiel, Luisa Capodieci, Adeline Lionetto et Marie-Joëlle LOUISON-LASSABLIÈRE (membre associée IHRIM) en avril 2019, et grâce au soutien de l’ED 3, du CELLF (Sorbonne Université), de l’IHRIM (Université de Saint-Etienne) et du centre de recherche HiCSA (Université Panthéon-Sorbonne).


    Revue d’historiographie du théâtre n° 7, 2021
    « DICTHEA : Dictionnaires et Encyclopédies de théâtre des 18e et 19e siècles »

    Anne PELLOIS et Céline CANDIARD (coord.)

    Revue éditée par la Société d’histoire du théâtre
    Trimestre 2/ septembre 2021

    Apparus au XVIIIe siècle dans le sillage de l’Encyclopédie, les dictionnaires de théâtre se sont multipliés au cours du XIXe siècle, dessinant pour les arts de la scène une nomenclature spécifique, de plus en plus orienté vers les pratiques.

    Ce numéro aborde les premiers travaux élaborés dans le cadre du projet DicThéa, consacré à l’édition numérique et à l’étude de quinze dictionnaires de théâtre parus en France entre 1776 et 1914.

    Il conjugue deux types d’approches complémentaires : les études centrées sur un ensemble éditorial précis, dans sa spécificité ; et les études diachroniques de certaines entrées ou occurrences de termes dans l’ensemble du corpus, afin de faire apparaître des évolutions notables dans la pensée de l’art.

    Il s’agit de la première édition d’un projet au long court, qui s’enrichira dans les années à venir d’autres publications autour des dictionnaires et des encyclopédies de théâtre, leur histoire, leurs contours et leurs usages.


    Revue Flaubert, n° 18, 2019
    Bouvard et Pécuchet et l’agriculture

    Stéphanie DORD-CROUSLÉ et Éric LE CALVEZ (dir.)

    Numéro dirigé par Stéphanie Dord-Crouslé et Éric Le Calvez
    Éditeur : Université de Rouen/Centre Flaubert CÉRÉdI
    Parution : août 2019
    ISSN 2104-3345


    Revue française d’études américaines n° 157, 2018/4
    « La recherche du bonheur / The Pursuit of Happiness »

    Jocelyn DUPONT, Marie-Jeanne ROSSIGNOL, François SPECQ (dir.)

    Revue accessible en ligne sur CAIRN
    Éditeur : Belin
    R.F.E.A., n°157, 2018-4, 128 p.
    Parution le 20 mars 2019
    ISBN 978-2-410-01404-4
    Directeur revue IHRIM : François SPECQ

    Revue accessible en ligne sur CAIRN