Maxime Triquenaux
Professeur agrégé en lettres modernes
Institution ou organisme de rattachement : Rectorat de Lyon
Équipe de site : Lyon 2
Statut : Associés
Coordonnées professionnelles :
triquenaux.maxime gmail.comPage personnelle : Carnet Hypothèses Imaginaires du pouvoir et de la noblesse (XVIIIe-XIXe)
Thèmes de recherche
- Littérature fictionnelle de la seconde moitié du XVIIIe et du début du XIXe siècle
- Corpus pamphlétaire et clandestin
- Anecdotes et micro-récits
- Noblesse et aristocratie
- Histoire culturelle et histoire des représentations
- Études de genre
Thèse
« Des aristocrates de papier. Trois figurations littéraires de nobles à la fin de l’Ancien Régime (Besenval, Polignac, Richelieu) »
Sous la direction d’Olivier FERRET
inscription : 2015
Thèse soutenue le 7 novembre 2020.
Accès au texte intégral
Publications majeures
« L’"illustre et vaste corporation à laquelle j’ai l’honneur d’appartenir". Rapports de genre et masculinités dans la première partie du Rouge et le Noir », L’Année stendhalienne, n°15, novembre 2016 (à paraître).
« L’impossible portrait de la reine. Notes sur le corps symbolique de Marie-Antoinette », Journée d’études doctorales « Le discours de légitimation : construire la légitimité politique, de l’Antiquité à nos jours », Paris, Université Paris-I, 22 octobre 2016 (publication à venir).
« "S’amuser, et quelquefois amuser les autres, en leur rappelant ce qui n’existe plus" : la mémoire de la légèreté nobiliaire dans les Fragments de l’histoire de ma vie du prince de Ligne », in Marine Ganofsky et Jean-Alexandre Perras (dir.), Le siècle de la légèreté : émergences d’un paradigme du XVIIIe siècle français, Oxford, Oxford University Studies in the Enlightenment, à paraître.
(avec Cyril Barde) « Textes transfuges, textes refuges. Fonctions de l’intertextualité dans En finir avec Eddy Bellegueule d’Édouard Louis », Inverses, n°15, octobre 2015.
« "L’historien est une sorte de détective" Entretien exclusif avec Robert Darnton », Orages, n°14, 2015, p. 239-250.