Épistolaires et sainteté féminine entre 300 et début 500

L’écriture de l’épître est l’une des formes les plus incisives et les plus représentatives par lesquelles la sainteté féminine trouve de l’expression entre le Moyen Age et le début des âges modernes.
En regardant la genèse, la formation et la diffusion des lettres dans une perspective pluridisciplinaire, la convention signifie pour décrire le fossé historique et culturel qui voit les femmes écrire en vertu de leur autorité spirituelle reconnue.
Dans le cadre d’un examen diachronique et contrasté de plusieurs écrits féminins, à partir de la fin du XIV^e siècle, les lettres de Catherine de Siene assument à bien des égards un rôle de référence pour le genre épistolaire.
Les problèmes historiques et philologiques complexes liés à leur diffusion deviennent un terme de comparaison inclusif pour les éditions d’autres épistolaires féminins, même si l’on considère les horizons suggérés par les ressources numériques les plus récentes.

Epistolari e santità femminile tra ’300 e inizio ’500

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